Immortelle randonnée : Compostelle malgré moi - RUFIN Jean-Christophe

Couverture Immortelle randonnée : Compostelle malgré moi

Jean-Christophe Rufin a suivi à pied, sur plus de huit cents kilomètres, le «Chemin du Nord» jusqu'à Saint-Jacques-de-Compostelle. Beaucoup moins fréquenté que la voie habituelle des pèlerins, cet itinéraire longe les côtes basque et cantabrique puis traverse les montagnes sauvages des Asturies et de Galice.
«Chaque fois que Ton m'a posé la question : "Pourquoi êtes-vous allé à Santiago ?", j'ai été bien en peine de répondre. Comment expliquer à ceux qui ne l'ont pas vécu que le Chemin a pour effet sinon pour vertu de faire oublier les raisons qui ont amené à s'y engager ? On est parti, voilà tout.»
Galerie de portraits savoureux, divertissement philosophique sur le ton de Diderot, exercice d'autodérision plein d'humour et d'émerveillement, Immortelle randonnée se classe parmi les grands récits de voyage littéraires.

Biographie de l’auteur

Jean-Christophe Rufin, né à Bourges dans le Cher en 1952, médecin, voyageur, écrivain, diplomate français, a publié L'Abyssin, prix Goncourt du premier roman et prix Méditerranée , Sauver Ispahan, Asmara ou Les causes perdues, prix Interallié, Rouge Brésil, prix Goncourt 2001, Globalia, La salamandre, Un léopard sur le garrot, Le parfum d'Adam, Katiba, et Sept histoires qui reviennent de loin. Il est membre de l'Académie française depuis 2008.

 

Date première édition: mai 2013

Editeur: Guérin

Genre: Récit de voyage , Roman

Mots clés :

Notre avis : 7 / 10 (1 note)

Enregistré le: 19 novembre 2014



Gislaine
Appréciation de lecture
Immortelle randonnée : Compostelle malgré moi
Appréciation : 7 / 10
Commentaire #1 du : 22 décembre 2014
Impossible de passer à côté de ce livre : la couverture entièrement rouge, le titre « immortelle randonnée » faisant penser au film des années 80 avec Michel Serrault et Isabelle Adjani, le sous-titre « Compostelle malgré moi » ainsi que la mention « de l’académie française » ne laissent pas indifférent.

Les premiers chapitres abordent le thème du comment et du pourquoi. Pourquoi entreprend-on ce voyage ? Le ton est à l’humour et à la légèreté, ce qui n’est pas pour déplaire.

Ensuite vient le voyage à proprement parler. JC Ruffin décrit les paysages, la marche et les ampoules aux pieds, les curiosités touristiques, les rencontres. Au fil des pages, on s’ennuie un peu car l’auteur reste très factuel. On aurait aimé que l’auteur tombe le masque et qu’il y ait plus de profondeur dans les propos.

A sa décharge, il faut signaler que Jean-Christophe Ruffin n’avait pas pris de notes et n’avait pas l’intention d’écrire un livre… d’où peut-être le titre « Compostelle malgré moi ».

Pour moi, c’est une petite déception ...
Il serait intéressant de savoir ce qu’en pensent les pèlerins ?

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